Accès : Val-Cenis > Termignon > Parking du Coêtet (groupe 1)
Pointe de Lanserlia (alt : 2909 m)
Encadrant : Alain
Départ pour tout le groupe à 8h30 du camping. Direction Bellecombe. Le chauffeur nous laisse sur un petit parking (altitude : 2099 m) sur une jolie départementale... Nous avançons jusqu'à une adorable chapelle dénommée chapelle de Saint Barthélemy. Puis nous longeons le ruisseau de la Chavière jusqu'au lac " le plan du lac"! Grand beau temps! beaucoup de fleurs! le moral est au beau dans notre groupe de marcheurs pour cette première sortie dans la Vanoise !!!
Nous grimpons doucement en direction du col Chavière, puis de la pointe de Lanserlia (2796 m).
Nous avons alors une belle vue sur le Viso au loin ; ainsi que sur la Barre des Ecrins, plus près de nous sur le grand Roc Noir, puis également dans la vallée, sur trois petits lacs encore gelés, tout près de nous à vol d'oiseau. Nous apercevons l'autre groupe de compagnons de rando près d'un de ces lacs. Nous nous lançons dans notre pique nique sur ce magnifique balcon.
Descente tranquille au travers des prairies fleuries et retrouvailles avec nos compagnons. Merci Alain et Didier pour votre guidage lors de cette première rando qui nous a permis de démarrer dans la bonne humeur une semaine qui sera bien remplie !
La chambrée numéro 7.
Lacs de Lanserlia
Accès : Val-Cenis > Termignon > Parking de Bellecombe (groupe 2)
Altitude 2774 m dénivelé 487 m
Participants : Bernadette Christiane Heliette Janine Nadine Nicole Daniel Dominique François
encadrant : Henri
Départ du parking de Belledonne à 2347 m nous empruntons le Gr5 tour de la Haute Maurienne
Nous le quittons après la traversée du ruisseau du Piou ( à sec ). Nous suivons une sente bien marquée qui nous permet d’atteindre le col de Lanserlia ( 2774 m ) entouré de 3 lacs certains en partie gelés.
De là nous apercevons le groupe 1 parvenu au sommet de la pointe.
Beau panorama : grande casse Pointe Matheus Grande Motte etc.
Après un casse croûte mérité nous entamons la descente, le groupe 1 nous rejoindra dans celle-ci.
Une belle première journée sous un soleil radieux.
Henri
Carte : OpenRunner
Accès : Val-Cenis> Col de l’Iseran (2764m).
Signal de l' ISERAN (alt: 3237m)
Collective
473 m de dénivelé pour atteindre un sommet à plus de 3200m, le programme est alléchant, l’occasion d’organiser une collective. Le topo annonce une difficulté « moyenne ».
Mais, les premiers éboulis rencontrés après 100m de montée, s’avèrent très raides, glissants, difficiles à négocier. A tel point que certains préfèrent renoncer.
La majorité du groupe parvient à la côte 3030 m, et décide d’en rester là pour un pique-nique au soleil, à plus de 3000, avec un panorama époustouflant.
Une dizaine de participants se prononcent pour continuer l’aventure.
On bascule côté nord-ouest de la crête du Signal de l’Iseran ; Un névé barre le sentier, la neige est trop dure pour marquer une trace, on le contournera par de gros éboulis peu commodes.
Une barre rocheuse se présente devant nous, après avoir recherché le passage le plus adéquat, on se dirige vers un cairn ; le passage est un peu escarpé, il faut poser les mains. Cette difficulté passée, le cheminement se poursuit à la recherche des cairns, dans des éboulis glissants, ou de gros éboulis, toujours des passages où il faut poser les mains.
Une dernière cheminée nous permet de rejoindre la crête où le cheminement devient plus aisé jusqu’au sommet.
Panorama magnifique, tous les 3000 de la Vanoise, seuls quelques nuages nous empêchent de porter notre vue vers le Mont Blanc.
On se limite à prendre quelques réserves et à une pause de 20 minutes au vu des difficultés qui nous attendent à la descente. Finalement un sentier en crête bien marqué s’avère plus praticable que notre trace à la montée; il faudra quand même mettre les mains dans un ou deux passages délicats. On rejoint la côte 3030 où on se pose pour un casse-croûte rapide. La suite de la descente jusqu’au col ne présente pas de difficultés majeures, les fins éboulis du matin ayant quelque peu séché au soleil.
Au final, le Signal de l’Iseran, malgré le faible dénivelé, a mobilisé toute notre énergie pour se laisser apprivoiser; On peut classer cette rando dans la catégorie « Randonnée Alpine »
Carte : OpenRunner
Accès : Val-Cenis> Aussois> Route des lacs > Parking du lac de Plan d’Amont
Le Râteau d’Aussois (3128m) par Plan d’Amont (groupe 1)
Participants :Alain M, Anne-Marie, Didier, Georges, Magali, Marie-France, Michel B, Michel D, Pierre, Sylvie M.
Encadrant : Didier
Le sentier démarre pile sous le barrage de plan d’Amont, 2056 m, et suit une piste jusqu’au pont de la Sétéria, 2215 m, c’est le point de séparation des deux itinéraires. Nous prenons à gauche sud-ouest direction le col de la Masse, en suivant le GR5 qui s’élève rapidement. Vers 2690 m, nous constatons que l’accès au col de la Masse, 2922 m, est barré par un névé de plus de 100 m. Faute de crampons, au vu des courbes de niveau et après avoir échangé avec un couple qui avait descendu le névé en crampons, nous tentons un itinéraire par une cheminée qui paraît praticable, rive droite d'un petit torrent. Au sortir de la cheminée, nous nous réjouissons de rencontrer quelques rares cairns. On s’oriente au mieux des cairns et du terrain en suivant l'azimut du Rateau d'Aussois. La trace rejoint la voie normale du col de la Masse vers l'altitude 2920 m.
La dernière montée vers le sommet s’effectue dans de gros éboulis en suivant au mieux le ou les sentiers indiqués par une multitude de cairns, on dirait que chacun a voulu tracer son itinéraire.
Le sommet est une large croupe, jalonnée de très nombreux cairns, offrant un magnifique panorama, sur tous les 3000 environnants.
Boucle des refuges Altitude 2520 m dénivelé 550 m.
Participants : Bernadette, Christiane, Francine, Heliette, Janine, Nadine, Nicole, Véronique, Thierry, François, Daniel, Dominique.
Encadrant : Henri
Départ du barrage de Plan d’Amont au dessus d’Aussois. Nous empruntons au départ la large piste qui nous conduit au Pont de Sétéria 2215 m .
Puis sud-est nous nous dirigeons par un bon sentier vers le refuge de la Fournache 2340 m le sentier passe dessous pour atteindre le refuge de la dent Parrachée 2520 m.
Après la pause nous repartons vers la cabane des gardes non loin du refuge.
Nous faisons la pause casse-croûte dans un replat herbeux face au Rateau d’Aussois
Après quoi nous descendons vers la Chapelle Notre Dame des Anges ( fermée ), puis remontée vers le refuge de fonds d’Aussois où nous avions dormi lors de la traversée des Glaciers de la Vanoise en ski rando il y a quelques lunes, il a bien changé depuis .
Boissons rafraîchissantes ou chaudes sont au programme, sans oublier les tartes Myrtilles ou rhubarbe.
La descente dans le vallon puis par un sentier balcon et une courte descente nous ramène au Pont de Sétéria et au Barrage par la piste du matin, pour y retrouver le groupe 1 qui a fait le Rateau d’Aussois.
Arrêt boisson à la station de ski d’Aussois et retour au camping pour le traditionnel apéro.
Carte : OpenRunner
Accès : Val-Cenis >col du Mont-Cenis > direction col du Petit Mont-Cenis > Parking près de l’accès du refuge du Petit Mont-Cenis au croisement de la D1006 et du GR5 au point côté 2124 m (ou parking du refuge du Petit Mont-Cenis si ce parking est complet)
Signal du Petit Mont Cenis (3162m), voie normale de l’arête sud-ouest (groupe 1)
Participants : Anne-Marie, Didier, Francine, Georges, Magali, Marie-France, Michel D, Sylvie,Thierry, Véronique.
Encadrant : Didier
Départ 7h30 sonnantes du camping. Direction le col du Petit Mont-Cenis. Nous nous garons sur un petit parking (altitude 2123). Le groupe part ensemble jusqu'au col de Sollières. Le chemin bucolique entouré par mille fleurs traverse un paysage vallonné et verdoyant. Nous arrivons au col chemin de la Paix ! le lieu nous paraît bien mal nommé car nous sommes accueillis par des soldats en plein exercice ! ça pétarade de partout!... Pour les Isards et les marmottes c'est sûrement râpé... A leur place d'ailleurs on filerait bien vite....
Notre petit sous groupe s'élance alors, à la suite de Didier, sur un petit sentier bien escarpé. L'autre groupe prend la route du Fort de Mont Froid. Nous nous élevons rapidement . Le chemin qui nous a paru un peu scabreux au début s'avère bien tracé. Notre objectif c'est le signal du Petit Mont-Cenis à 3168 mètres !
Nous l'apercevons après un long cheminement dans des blocs de schiste. Son approche se fait en crête un peu aérienne. Il nous faut mettre les mains pour avancer. La dernière étape se fait dans la plus grande vigilance. Tout se passe "comme sur des roulettes" grâce à la bienveillance de nos coéquipiers supervisés par Didier. Là-haut vue panoramique sur le lac du Mont-Cenis. L'eau du lac est bleu turquoise ; le ciel: bleu outremer ! Dans nos yeux brillent des paillettes !!!
Petit repas convivial entouré de hauts sommets alpins: le Grand-Coin ; Le Mont-Froid ; le mont Albert-Gien ; la Grande-Casse ; le glacier de la Vanoise... la descente se fait tranquille, toujours sur nos gardes cependant. La pente est bien raide jusqu'au col... Là les soldats sont partis... retour au calme... une ou deux marmottes pointent leur tête pour notre plus grande joie ! Nous croisons aussi quelques vététistes au bout du rouleau... nous les encourageons...Et nous retrouvons avec plaisir nos compagnons de l'autre groupe. Au compteur nous enregistrons 13 kilomètres et 1000 mètres de dénivelé et plein de bonne humeur!
Merci Didier pour ton guidage!
la chambrée numéro 7;
Mont Froid (2822 m), D+ : 700 m (groupe 2)
Participants : Alain M, Bernadette, Christiane, Daniel, Dominique, François, Héliette, Henri, Janine, Michel B, Nadine, Nicole
Encadrant : Henri, Alain M
Participants: Henri, Alain M (encadrants), François, Christiane, Nicole, Bernadette, Michel B, Dominique, Héliette, Nadine,Daniel, Pierre, Janine.
Départ 7h30 par une belle matinée ensoleillée. Nous traversons Lanslebourg, direction : col de Mont-Cenis et refuge du « Petit Mont-Cenis » à proximité duquel nous nous garons (alt 2122 m). Nous sommes 13 à partir pour cette randonnée moins ambitieuse. Nous remontons les alpages, tout d'abord par une piste forestière puis par une sente qui nous mène jusqu'au col de Sollières (2639 m). Nous croisons des militaires qui font des exercices et qui, comme nous, remontent vers le col. De là, on prend vers la gauche et arrivons à un collet où se trouvent des baraques en ruine. Nous apercevons déjà des murs de pierres, vestige de l'ancien fort de Mont-Froid, tragique site militaire, témoin des combats entre révolutionnaires français et piémontais en 1794, et entre chasseurs alpins français et allemands en avril 1945.
On continue sur la crête jusqu'à la croix sommitale 2819 m : panorama exceptionnel sur la vallée de la Haute-Maurienne, le bout du glacier de la Vanoise et les sommets : dôme de l'Arpont, pic de la Grande Motte, grand Roc Noir, la Dent-Parrachée, le massif d'Ambin, la Grande-Casse... 360° de magie que nous contemplons pendant le pique-nique !
Pour le retour, nous empruntons depuis le collet des baraquements, un sentier SW et descendons dans les alpages qui nous offrent un feu d'artifice de fleurs. Nous arrivons au parking 16h30.
Tout le monde est enchanté de cette belle journée, un grand merci à nos encadrants !
Carte : OpenRunner
Accès : Accès :D1006, Villarodin, Modane, D215, D106, refuge de l’ Orgère.
Lac de la Partie (alt: 2502 m)
Participants : Alain M, Anne-Marie, Bernadette, Christiane, Daniel, Dominique, Francine, François, Georges, Héliette, Henri, Janine, Magali, Marie-France, Michel B, Nadine, Nicole, Pierre, Sylvie, Thierry, Véronique
Encadrants : Alain M, Henri
La météo nous annonce une après-midi pluvieuse, le départ du refuge de l’Orgère est avancé.
Nous débutons sur un sentier bien marqué mais exigeant d’entrée jusqu’au lieu l’Estiva ensuite il est en balcon (GR55 variante) facile pour admirer les tapis de fleurs et aussi quelques bouquetins sous le sommet de Tête-Noire.
Nous atteignons le lac où nous faisons une petite pause, nous n’irons pas au col de Chavière ni au pied du glacier de Polset car les nuages s’amoncellent déjà.
Par prudence nous reprenons le chemin de l’aller, nous faisons la descente de l’Estiva au refuge sous le tonnerre et les éclairs (14h).
Nous avons juste le temps de prendre le repas et de nous changer . La pluie ne cessera qu’en fin de soirée.
Carte : OpenRunner
Météo très incertaine, maussade, sommets dans la brume.
Journée libre
Un groupe visitera le village de Bramans avec quelques affiches rappelant les métiers d’antan, meunier, tailleur d’habits, chamoiseur, rétameur, etc.
L’autre visitera les forts de l’Esseillon à quelques kilomètres de Bramans.
Cinq forts édifiés de 1817 à 1833 par la Maison de Savoie. Elle protégeait Turin, capitale du royaume de Sardaigne de toute nouvelle menace française et contrôlait le grand itinéraire transalpin Paris-Milan par le col du Mont-Cenis. Ces forts deviennent français lorsque la Savoie est rattachée à la France en 1860.
Le soir apéritif offert par Christiane pour fêter ses 80 ans puis repas au restaurant La Tête à l Envers à Sollières-Sardières pour clore un séjour fort agréable.
Hébergement dans des chalets confortables dans un cadre bucolique avec vue sur la Dent-Parrachée et Rateau-d’Aussois.