Participants : Katia, Carole, Corinne, Jean-Marc, Gaël, Laurent (APL)
Jean-Claude, Henri, Olivier, Alain
Accès : A l’entrée de Luchon en venant de Toulouse, prendre la direction du col de Peyresourde jusqu’au village de Garin. Poursuivre sur la D618 jusqu’à l’intersection Les Agudes, lieu dit La Moraine.
Le 6 janvier, la neige commence à manquer, depuis elle est tombée en abondance sur le massif.
Les équipements sont obligatoires pour monter vers Peyragudes, le col de Peyresourde au dessus de Garin est fermé pour fort risque d’avalanche.
Stationnés sur un petit parking à main droite sur la route des Agudes (alt : 1260 m), nous chaussons les skis et raquettes immédiatement.
Henri nous fait la trace, les arrêts sont fréquents et les relais sont bienvenus.
La neige est poudreuse et l’épaisseur conséquente (environ 70 cm).
La montée se fait dans la bonne humeur et sous un soleil radieux.
Henri et Jean-Claude dispensent les bons conseils à nos collègues skieurs de l’APL. Quant à nous, nous suivons facilement en raquettes…
La croupe est large, le risque d’avalanche nul et l’endroit convient pour retrouver les sensations du ski de rando en toute tranquilité. Pendant ce temps, côté Agudes et au-delà quelques détonations retentissent.
Il faut déclencher les avalanches pour sécuriser les sites.
A 13 h 30 la décision est prise, c’est la pause repas !
Comme d’habitude, le repas est accompagné de bonnes bouteilles, petits biscuits et chocolats pour finir (non ce n’est pas Michel, il fait sa tournée de colis).
Impatients, les skieurs enlèvent déjà les peaux de phoques et s’élancent sur les premières pentes.
Tout va bien … Nous les voyons s’éloigner en faisant des glissades chaloupées.
Quant à nous, nous choisissons une trajectoire rectiligne dans cette poudreuse de rêve.
De retour au parking, les skieurs échangent leur ressenti.
De l’avis d’Henri, la couche de neige n’est pas assez ferme, ça ne facilite pas la glisse, les skis s’enfoncent trop. Exigeant Henri !
Les skieurs ont tout de même apprécié et nous, en raquettes nous n’avons qu’une envie : repartir au plus vite sur d’autres parcours.
Le débriefing se fait au tour d’un pot à Luchon.
Alain