ASPTT Montagne Toulouse

Participants : Janine, Pierre, Bernadette, Danielle, Héliette, Nadine, Claudine, Monique, Marie-France, Michel D, Jean-Claude A (encadrant), Pierrette, Jean-Louis, Georges, Jean-Claude F, Olivier, Philippe, Nicole, Alain M (encadrant), Henri (encadrant).

Un groupe : Lac de la Croix (alt : 2340 m)

Départ du camping à 7h direction le col du Glandon à 1924m.

Un groupe ira à la Cime du SAMBUIS et l’autre au lac de la Croix (alt:2340m)

Nous avons cheminé sur un magnifique sentier en balcon le long d’un torrent tumultueux et des pentes tapissées de rhododendrons. Surprise pour beaucoup d’entre nous : que de neige que de neige !! Des névés partout y compris dans la montée finale mais aucun problème pour des randonneurs aguerris…Le lac de la Croix nous attendait à 2350 m il était à moitié gelé avec de magnifiques couleurs, une glace bleutée comme au lac des 9 couleurs mais en plus petit. La pause repas dans ce cirque a été un pur bonheur et bien sûr la sieste obligatoire sous un magnifique soleil et un superbe paysage. Nous avons attendu le 1^er groupe redescendant du pic et la descente s’est effectuée par la combe de la Croix  souvent dans des névés ce qui était super agréable même si certains avaient un peu la frousse mais tout le monde est arrivé au col. Nous avons eu le temps d’admirer les aiguilles d’Arve et juste avant l’arrivée une stèle qui nous a permis de voir le mont Blanc et le glacier de l’étendard. Bien sûr la bière nous attendait à l’auberge du Glandon car il ne fallait pas déroger à la règle. Il avait fait très chaud alors la troupe devait se réhydrater !!

En arrivant au camping quel bonheur pour certains de plonger dans la piscine. En résumé superbe journée et merci à HENRI  et JEAN-CLAUDE.  

Autre groupe : Cime du Sambuis (alt : 2727 m)

Le départ se fait sous un franc soleil du joli col du Glandon, à flanc de montagne .

 Puis la remontée d’un beau vallon verdoyant nous mène sur les rives d’un torrent aux eaux  bouillonnantes, bien glacées puisque pour certains il faudra y tremper les pieds pour traverser et gagner le flanc ensoleillé ... Vivifiant ! La passerelle a été emportée .

Plus haut, de nombreux névés nous font face sur lesquels nous verrons traverser une harde de bouquetins d’un pas nonchalant, pas effrayés. Nous poursuivons la montée entre névés et rochers jusqu’à la double cime. Sur l’une  trône un gros cairn annonçant 2733 m sur l'autre de grands skis. Vue sur les cols du Glandon et de la Croix de fer. On aperçoit ou on croit deviner les Ecrins avec la Meije et le Rateau, les aiguilles de l’Argentière.

L’itinéraire en boucle vers le lac de la Croix où se trouvent nos compagnons se fait en « montagnes russes », complexifié par la présence de névés plus ou moins pentus et/ou solides ... Nous apercevons Henri sur une butte vers laquelle nous remontons .

Beau cirque rocheux, le lac est gelé ; seule une bordure turquoise se réveille de l’hiver intense. La sieste est au menu pour certains ...

La descente se fait par un vallon pentu encore bien enneigé, heureusement la neige y est souple à cette heure ... reposant  sauf si on se « crispe de trop » aïe!

En chemin, nous apercevrons la Grande Casse en Vanoise (avec ses 2 oreilles ...) puis le Mont blanc dans la brume ...

Très belle boucle ensoleillée pour démarrer la semaine : merci à nos encadrants  si prévenants.

Participants : Janine, Pierre, Bernadette, Danielle, Héliette, Nadine, Claudine, Monique, Marie-France, Michel D, Jean-Claude A (encadrant), Pierrette, Jean-Louis, Georges, Jean-Claude F, Olivier, Philippe, Nicole, Alain M (encadrant), Henri (encadrant).

Lundi 2 juillet – Le sommet du Cheval Noir

Le soleil inonde déjà les sommets des montagnes environnantes, tout le monde est au rendez-vous du départ à 7 h. Nous prenons la direction du col de la Madeleine et dès 8 h 30 nous commençons à grimper à travers les pistes de la station de Saint François Longchamp (alt 1900 m). La montée est un peu rude face à la pente sur le chemin d'exploitation de la station, avant d'atteindre le lac Blanc. Puis c’est un sentier abrupt qui s'élève jusqu'au col du Cheval Noir (2527 m). Une partie du groupe s’arrêtera là et profitera de la belle vue. Les autres se scindent en deux (les forts et les moins forts) et poursuivront par une longue traversée puis par une pente raide qui conduit au sommet ou a été installée une statue métallique d'un cheval (2832 m). De là, la vue est époustouflante : Tarentaise, Beaufortin, Vanoise, Mont blanc, Grand Perron des Encombres … nous l'admirons pendant le pique-nique. Retour par le col et par un itinéraire bis nous replongeons dans la vallée. Celui-ci nous permet de nous entraîner aux passages de névés ! Fort heureusement les plus aguerris savent gentiment prodiguer des conseils judicieux pour éviter les descentes brutales sur les fesses, merci …

Nous nous retrouvons tous vers 16 h et pourrons apprécier quelques instants plus tard, un verre bien mérité au col de la Madeleine.

Encore une balade merveilleuse, une excellente journée, un grand merci à nos organisateurs.

Partcipants : Janine, Pierre, Bernadette, Danielle, Héliette, Nadine, Claudine, Monique, Marie-France, Michel D, Jean-Claude A (encadrant), Pierrette, Jean-Louis, Georges, Jean-Claude F, Olivier, Philippe, Nicole, Alain M (encadrant), Henri (encadrant).

Col des Encombres  - Lac de la Montagnette (2496 m) pour les uns et Grand Perron des Encombres  (2824m) pour les autres

12 personnes sur le "petit" parcours  : Héliette, Nadine, Pierre, Janine, Michel, Bernadette, Henri, Monique, Pierrette, Olivier , Nicole et Danielle

Départ 7h 05 du camping du "Bois Joli"

Nos chauffeurs prudents et experts nous amènent sur une longue route étroite  de 21 km qui traverse une forêt où les arbres aux fûts filiformes  cherchent très haut la lumière.

Nous sommes  à notre point de départ à  8 h 40 avec une météo plutôt engageante bien que quelques nuages évoluent au loin.

Le premier groupe s'est fixé le grand lac de la Montagnette comme objectif, tandis que le second plus vaillant ira au Grand Perron des Encombres.

Nous cheminons ensemble dans une large vallée herbeuse piquetée de mille fleurs qui enchantent notre regard. Le sentier s'élève régulièrement mais en douceur jusqu'au col des Encombres où les deux groupes se séparent. Pierrette décide de stopper là pour ne pas davantage faire souffrir ses genoux. Nous continuons notre périple en suivant un sentier fort agréable d'abord en crêtes, puis  le long des courbes de niveau. Cet accès relativement facile jusqu'à une croix incitera notre guide Henri, attentionné et prévenant à inviter Pierrette à nous rejoindre. Là, un décor splendide s'offre sur 360°. Au loin, là-haut nous apercevons cinq petites allumettes dressées sur la roche pentue : sans doute quelques-uns du second groupe. L'environnement  verdoyant, large, aéré, juste troublé par le murmure d'un ruisseau nous porte à apprécier cet extraordinaire privilège d'être simplement là : un moment de bonheur  pur. C'est au lac de la Montagnette que nous nous restaurons et reprenons des forces lors d' une brève sieste. Un ciel un peu plus nuageux et un air plus frais signent le moment du retour. Ce sera finalement une boucle que nous décrirons en suivant un sentier au milieu de grands espaces verts vallonnés et fleuris.

Une dernière pause en surplomb du parking avant de rejoindre l'autre groupe.

Nous reprenons les véhicules et à nouveau la longue route  traversant la grande forêt. Un arrêt à Saint-Jean-de-Maurienne s'impose pour étancher notre soif car en bas la chaleur est suffocante. 

Nos véhicules ont aussi besoin d'une douche et ce sont deux "Monsieur propre" qui s'y attèlent ; ils auront bien mérité  le traditionnel apéritif  !!!

Danielle Duban

Il y a 25 ans, nous étions arrivés au col par le versant Nord à partir de Saint-Martin-de-Belleville. Aujourd’hui l’approche du col se fait côté opposé depuis la Bachellerie-d’en-Haut. Nous apercevons très tôt le Grand Perron mais avant nous nous orientons sud sud-ouest sur un bon sentier jusqu’au col. Les pentes sous le sommet sont raides avec la partie finale dans un éboulis rendu instable par la fonte du névé. Panorama superbe des Ecrins jusqu’au Mont blanc.Pause repas suivi d’une sieste quand tout à coup Claudine s’interroge sur ce moteur diesel qui peine à démarrer. Point de moteur à cette altitude mais un ronflement réparateur de l’un d’entre nous. Le retour s’effectue par le même itinéraire.

Alain

Un groupe au lac des Balmettes (voir 2 éme CR mercredi 4)

Autre groupe : Aiguille de l' Epaisseur : (alt : 3230 m).

Le départ est matinal (6 h) pour une longue route jusqu’à Valloire sur la route du célèbre col du Galibier.

 Au hameau de Bonnenuit, nous démarrons encore endormis, la montée douce vers les alpages dans de luxuriantes prairies gorgées de fleurs (ah , le bon Beaufort ...) .

La vallée s’enfonce en direction des aiguilles d’Arves  verdoyantes d’un côté, austères et grises de l’autre, griffées de coulées blanches, jusqu’au refuge CAF des Aiguilles (2260 m) 39 places. Là, un groupe nous indique avoir gravi notre aiguille sans souci et le gardien confirme.

La lente montée  reprend, plus raide sur pelouse rase puis gros cailloux plutôt schisteux ; le sentier se cache sous de petits névés de temps à autre.

La pente se redresse sérieusement et le terrain devient plus glissant ; le pas se fait plus petit, le souffle plus court et les motivations plus hasardeuses = pour l’un, c’est la « barre à 1000 » (plafond objectif de 1000 m de dénivellé ) pour d’autres l’atteinte des 1400 m annoncés au départ mais il fallait en fait y rajouter l’EPAISSEUR importante du trait sur le GPS ... !

Bref, la force du collectif et les encouragements aidant, le groupe parvient sur la crête rocheuse, belvédère sur les 3 magnifiques aiguilles d’Arves dont la plus proche est dédoublée.

Allégés de nos sacs, nous terminerons les derniers mètres jusqu’au sommet.

Quel  grandiose 360°, de la Vanoise (dent Parrachée, dômes, aiguilles Péclet etc.) aux Ecrins (Meije, Rateau, glacier de la Girose très proches et dégagés de brume) en passant par le Viso dans le fond  !

La descente prudente nous ramènera au coquet refuge pour une pause appréciée = gâteau  à la carotte et chocolat (insuffisant pour le gourmand du groupe mais léché jusquà la dernière miette ...), délicieux coca local bio pour les « déficients intestinaux » ...

Belle et sympathique ascension sous les ailes de Jean-Claude et Alain et les auspices de beaux lis martagon aperçus au départ ...

Participants : Janine, Pierre, Bernadette, Danielle, Héliette, Nadine, Claudine, Monique, Marie-France, Michel D, Jean-Claude A (encadrant), Pierrette, Jean-Louis, Georges, Jean-Claude F, Olivier, Philippe, Nicole, Alain M (encadrant), Henri (encadrant).

Un groupe : Boucle Lac Le Branlay (alt : 2032 m), lac de l'Arpettaz.

Autre groupe : Boucle lac Le Branlay (alt : 2032 m), Portes de Montmélian (alt : 2459 m), lac de l'Arpettaz.

Nous passons le col de la Madeleine et descendons vers la vallée de la Tarentaise, à la hauteur du village Celliers-Dessus, nous bifurquons à gauche en direction du refuge Le Logis des Fées point de départ de la rando. Nous débutons par une descente. Sur un névé nous apercevons un renard qui met en alerte les marmottes et les patous. Nous remontons au lac Le Branlay (alt : 2032 m) situé dans un cadre magnifique. Rassemblement et moment émouvant lorsque à l'abri d'un rocher nous allumons trois bougies en mémoire de André Augé, Robert Vergara et Cathy Cantegreil. Ensuite un groupe choisit de faire la boucle par le Grand plan et le lac de l'Arpettaz, l'autre groupe continue dans le Creux de Lachat sur un sentier parfois recouvert par des névés. Au loin vers le col des Paris St Jacques un chamois nous observe, le temps d'une photo et nous repartons vers les portes de Montmélian (alt : 2459 m). Au sommet nous sommes dans la brume. Nous prenons le repas en attendant une embellie. Aucune amélioration alors nous descendons en contournant le pic de Lachat  en essayant d'éviter les névés pour limiter les glissades et rejoignons un joli sentier en balcon jusqu'au lac de l'Arpettaz et retour au refuge pour une boisson chaude et tonifiante.

La nuit précédente, il a plu énormément. Ce matin les sommets sont dans la brume. Que faire ?

A la station Lonchamp 1650 il bruine, nous faisons demi tour. Chacun vaquera à ses occupations en attendant le match FRANCE- URUGUAY.

Lac des Balmettes, col de Montfossé (alt : 2577 m).

Dénivelé 700 m 

Participants :

Henri, Danielle, Janine, Bernadette, Pierrette, Nicole, Monique, Héliette, Nadine, Philippe, Jean Claude F et Pierre.

 Beau temps, chaud. 

Départ à 07h30. Un groupe de « costauds » est déjà parti depuis 1h vers les aiguilles d’Arves, grosse rando avec 1600 m de dénivelé.

 Nous prenons la route du col du Glandon vers Saint-Colomban-des-Villars départ de la rando.

Premier (faux) départ à 9h. Un torrent infranchissable nous oblige à remonter plus haut avec le mini-bus.

Vrai départ à 9 h 20 à 1836 m d'altitude (finalement on a gagné 100m de dénivelé !!)

On traverse successivement des bosquets de résineux avec quelques feuillus, puis ne restent que les résineux de plus en plus épars et de plus en plus petits avant de déboucher sur une immense étendue de myrtilliers (hélas pas encore de myrtilles mûres).

Enfin nous atteignons les pelouses fleuries et les rhododendrons.

Nous rencontrons près du lac des Balmettes quelques pierriers avec des passage un peu délicats.

Le lac des Balmettes (2200 m) est atteint à 11 h15.

Quelques randonneurs poursuivent jusqu'au col des Balmettes 2438 m) . De là, nous apercevons pas très loin le col de Montfossé, but initial de la journée. Mais la présence de neige en grande quantité nous contraint à renoncer.

Retour vers le lac où nous nous retrouvons pour le repas de midi et début de la descente à 14 h.

Nous retrouvons un peu plus loin Pierrette et Nicole en compagnie d'un jeune bouquetin qu'elles ont quasiment apprivoisé.

A 15 h 20 nous sommes de retour aux véhicules.

Magnifique journée avec des paysages une fois de plus somptueux dans un décor très sauvage (quasiment personne d'autre que nous).