Menties

Prochaine sortie :
Samedi 24 mai avec Fabrice
Rando
Dénivelé de 1200 mètres

Attention!

Pour toute information concernant les sorties, contacter l'encadrant avant le mercredi 20h30.
Dimanche 04 février 2018, Encadrant Paul
Niveau : **
Durée : 0 heures
Dénivelé : 900 mètres
Altitude maxi. :1621 mètres
Carte IGN : 2147ET
Participants :

Participants : Marie-France, Michel D, Sylvie M, Isabelle,Tibi, Marc B, Nicole M, Alain Mo, Georges, André, Paul (encadrant).

 

Ariège : direction Tarascon puis Rabat-les-Trois-Seigneurs (doivent être bien protégés  eux…) et arrêt à la Freyte.

 

Le barda dans le dos, nous voilà grimpant dans le bois, paré pour l’occasion de son blanc manteau…

Nous avançons à pas de loup…mais à voix haute ! Le décor est magnifique comme toujours, encore un peu d’imagination et nous voilà aventuriers – trappeurs dans le Grand Nord !

Sortis de ce mystique bois, nous voilà en crête jusqu’au Menties, enveloppés d’une cape de brouillard léger, flottant, virevoltant…

Mais point de panorama en haut et comme il fait ‘frillot’, pause ‘éclair’ et redescente vers le Roc de Trabinet, idéal pour LA pause casse-croûte agrémentée de légers rayons de soleil.

La descente par la forêt devient un concours de gadins, glissades et figures artistiques dignes des prochains JO !

La forêt résonne encore d’un certain rire…

Arrivée aux voitures juste avec la pluie, si c’est pas bien étudié ça ?! ou  les pouvoirs de Paul ?! ou des Trois-Seigneurs ?! Allez savoir !

Sylvie

 

Le petit groupe fut prêt pour un départ de Soupetard à 6 h 30. Pourtant, nous sommes partis quelques minutes plus tard, le temps de vérifier la participation d’une 12ème personne. C’est donc bien réveillés (ou presque) que nous avons pris la direction de Rabat-les-Trois-Seigneurs, avec une escale à Tarascon pour le petit-déjeuner.

Petit parking presque plein mais place suffisante et sans grandes manœuvres nécessaires pour garer nos deux véhicules. Le temps de nous équiper et c’était parti pour une montée régulière en trois paliers. Nous avons commencé par la traversée d’une forêt claire parée de ses attributs hivernaux. D’abord nus ou simplement habillés de chatons, les arbres étaient dressés de part et d’autre du chemin. Au fur et à mesure de notre avancée, leurs branches de plus en plus chargées de neige venaient nous caresser.

C’est en arrivant au col de Carlong que nous avons pu chausser nos raquettes, et profiter quelques instants du panorama sur la vallée avant de poursuivre à découvert vers le second palier. O misère, difficile de grimper : soit car on n’a que très peu dormi la nuit précédente, soit que finalement ça monte quand même un peu ou que les muscles sont en grève...😉 Heureusement, les amis sont présents pour motiver et on ne peut que repousser ses limites. Les plus aguerris ont ouvert la voie et fait heureusement la trace. Chacun, à son rythme, avança tranquillement. Un rayon de soleil nous encourageait aussi à avancer.

Arrivés au roc de Trabinet, difficile d’apercevoir le sommet suivant : un voile de nuages s’était posé sur la montagne. Un petit dénivelé négatif nous procura un peu d’élan pour la grimpée finale. Et soulagement : objectif atteint! Nos efforts furent récompensés par les félicitations chaleureuses de Paul. Le temps de renfiler pulls et gants, d’immortaliser l’instant avec une photo de groupe (merci au photographe qui s’est sacrifié), d’admirer brièvement le paysage virtuel et nous voilà redescendus jusqu’au roc de Peyrenègre pour déjeuner.
Jusque là, aucune difficulté technique. La météo était plutôt clémente.

La descente fut davantage acrobatique et périlleuse. Une courte variante à travers les genêts et les rochers nous a permis de rejoindre le sentier forestier devenu glissant et boueux. Quelques chutes à déplorer (record attribué à Isabelle), aucun bobo mais des rigolades, quelques crispations et, tout le long, des conseils précieux de Tibi, Georges, Michel... et une surveillance bienveillante de Marc, Alain...

De retour au parking, nous avons pu nettoyer raquettes, bâtons et chaussures grâce au jet puissant d’une fontaine aménagée jaillissante d’un rocher. Le luxe!
C’est donc tout propres que nous sommes rentrés à Toulouse après une petite halte à Tarascon pour nous désaltérer, contents d’avoir passé une belle journée.

Isabelle

Carte : OpenRunner

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