Partcipants : Colette, Danielle A, Francine, Nicole, Alain, Georges, André D.
Départ pour deux jours le samedi matin, de Toulouse, à 7 heures 30. Nous quittons la ville dans le minibus tant convoité, direction notre belle Ariège. Belle météo annoncée. Arrêt café après un vote serré (les pour/ les contre) dans le joli village de Castillon-en-Couserans. Après la courte pause, à l’unanimité tout le monde est satisfait.
La grimpette se fait tranquille à partir du pla de la Lau. Il fait bon, tout le monde est en forme. Un petit pique-nique et un peu de bon repos auprès du lac rond nous permettent de reprendre notre avancée jusqu’au refuge des Estagnous. Nous arrivons vers 16 heures 30. Là, nous trouvons pas mal de monde et une super bonne ambiance. Du coup nous nous laissons tenter par une bonne bière… Bon repas, pause organisée par nos hôtes pour pouvoir assister au coucher du soleil, dessert, coucher. Bon là, il a fait un peu chaud, mais la nuit s’est passée.
Au deuxième jour, c’est à 7 h 15 que nous quittons le refuge. La fraîcheur nous permet de bien avancer. La première partie est un peu raide mais ça passe bien. Petit arrêt au col de Faustin et reprise jusqu’au sommet sur un bon sentier. Séances photos. C’est beau. Nous sommes au-dessus des nuages et bien où nous sommes : tout en haut. Descente, arrêt au refuge pour récupérer le barda laissé sur place. Il fait chaud, déjà, c’est l’heure de l’apéro mais la majorité du groupe ne craquera pas… pour une petite bière. Au programme Dédé nous a annoncé qu’il nous fallait regrimper 200 mètres. Le projet est de faire une boucle en passant par le col de Pécouch et suivre le chemin de la Liberté, cap des Lauses et descente par le GR10 jusqu'à la maison du Valier. Ouille !!!, l’arrivée au col est plutôt raide.
Pour la descente, petit passage un peu casse-figure et puis de belles dalles même pas glissantes. Ah oui, quelques difficultés juste avant le lac de Milouga. Juste au-dessus : autorisation de s’arrêter mais pas pour longtemps. La prochaine fois je n’amènerai pas de poire au dessert, ça prend trop de temps à manger !!! Non plaisanterie mise à part, le retour fut long et beau par un superbe sentier. Cependant tout le monde fut super heureux quand ça s’est arrêté. Evidemment nous étions tellement heureux(ses) que nous n’avons pas hésité à faire un arrêt pour nous désaltérer et remercier notre guide et ses deux super accompagnateurs remplis de patience et de gentillesse. Merci à tous pour la bonne humeur et puis nous y sommes tous arrivés. Combien de dénivelé : Alain déjà ? Redis-le-nous.
A bientôt.
Francine.