Partcipants: Monique, Nicole, Georges, Michel, André A, Alain.
6 h 45 départ, le bus est à moitié vide mais il est chauffé. Nous roulons dans la nuit en direction du Luchonnais.
Peu à peu les cimes enneigées apparaissent.
8 h 20, nous frappons à la porte de la maison d'André à Lège.
Surpris de nous voir si tôt, pas encore tout à fait réveillé, il termine son petit déjeuner.
Nous nous installons autour de la table pour faire de même avec nos délicieux gâteaux et un bon café.
9 h 45, nous sommes prêts pour la rando ... sans les raquettes. La neige est remontée, André nous rappelle qu' il y avait un redoux les jours précédents. Je ne suis pas persuadé que la neige soit tombée comme les médias l'ont annoncé.
Cependant, les vacances scolaires approchent, il faut espérer que la neige sera bien présente pour tout le monde sur les massifs. Pour l'instant cela paraît insuffisant.
Nous prenons des raccourcis jusqu'à l'orée du bois de l'Auédou pour rejoindre la piste qui mène à la cabane de Saunères (alt :1660 m) idéalement placée où nous faisons une halte. La vue imprenable sur la vallée et les sommets environnants fait de cet endroit un coin pour se reposer, rêvasser notamment en été sur cette pelouse verte rase et souple.
Nous poursuivons au-dessus de la cabane dans le Serrat de Créspés, la couche de neige est faible. Soufflée par le vent, la crête est dégarnie et les rochers à découvert. Une douzaine de randonneurs nous précède, certains ont chaussé les raquettes. Ils vont au pic de Bacanère en passant par le Plan de Montmajou que nous atteignons à 13 h.
Six chevaux paissent encore en dessous de la cabane de Peyrehitte, pas pressés de rentrer à l'écurie.
Nous nous installons pour la pause repas sous le soleil et pas de vent, apéro (vin chaud), plat, dessert (cake au chocolat). Que dire de plus, l'Aneto, les massifs de la Maladeta et Néouvielle et pic du Midi de Bigorre sont restés couverts.
14 h, nous repartons, la neige se transforme vite, nous croisons trois randonneurs deux avec les raquettes, le troisième en ski (il me semblait désemparé vu le peu de neige).
16 h 30, dernière pause gourmande à Lège (il fallait bien ramener André quand même) et retour avec des ralentissements.
Belle journée a dit Michel.
Alain