Participants : Monique D, Jean-Louis F, Michel B, Alain B, André B.
Nous partons de Toulouse le samedi 27 vers 15 h pour arriver à Aulon vers 17 h.
Nous installons nos affaires au gîte du pic Noir.
Jean-Louis nous fait la surprise d'un goûter avec des gâteaux faits maison arrosés d'un Tariquet bien frais.
Nous visitons le village et en particulier les jardins du Castéra. Ce sont des allées fleuries avec des vues sur la vallée et les sommets des alentours (l'Arbizon par exemple).
Dans le village, nous remarquons des maisons anciennes rénovées plus ou moins bien au goût de certains.
En attendant l'heure du repas du soir, nous devisons près de la fontaine avec de grandes idées philosophiques et essentielles : du genre « A Toulouse quand le soleil se couche, il fait nuit. »
Chacun appréciera la portée de cette remarquable pensée.
Le gîte est confortable, le repas correct sans plus, le patron pas très sympathique.
Le lendemain(28) réveil à 7 heures, petit déjeuner (bien) à 7 h 30, après d’apres négociations avec le patron, contre la promesse de ne pas faire de bruit.
On monte en voiture aux granges de Lurgues ce qui nous évite ½ heure à pied (et autant au retour).
Le sentier monte légèrement jusqu'à une bergerie (cabane d'Espigous), puis il monte raide mais régulier et bien tracé dans l'herbe et les éboulis.
Nous rencontrons plusieurs randonneurs. Après avoir gravi une petite cheminée, nous atteignons la brèche d'Aurey. Point de vue sur la vallée de Campan, Payolle, la hourquette d'Ancizan.
Le ciel est couvert à 2800 m. Par conséquent nous voyons assez peu de sommets aux alentours.
Nous terminons l’ascension jusqu'au sommet. Le froid assez vif et la brume qui arrive nous dissuadent de manger au sommet.
Nous redescendons jusqu'à la brèche pour manger. En chemin, nous surprenons un lagopède et nous voyons des vautours.
Nous redescendons aux voitures que nous atteignons après avoir essuyé une petite averse.
Encore un bon week-end en montagne.